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Michel à Trondheim - Etudier en Norvège

Présentation
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Etudier en Norvège
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Analyse du séjour
  • Un accueil a-t-il été prévu par l’université ou par une association à ton arrivée sur le campus ?

Oui. L’université de Trondheim organise des réunions en début de séjour pour expliquer les démarches administratives à effectuer. Si on le souhaite, on peut aussi participer à « l’orientation week ». C’est une semaine d’activité (randonnée, kayak, escalade) organisée pour les étudiants étrangers. C’est une bonne façon de nouer les premiers liens et de découvrir un peu tout ce qu’on peut faire en Norvège.

  • Peux-tu décrire ton impression générale sur l’université d’accueil ?

C’est un campus super vivant. Il s’y passe toujours plein de trucs. Par exemple, le jour de la rentrée, une équipe d’ingénieurs a montré une F3 électrique qui était le résultat d’un projet reconduit chaque année. Il y a des cours de danse dans les locaux de la faculté. J’ai même pu assister à un concert d’électro en sortant de cours à midi !

Les bâtiments sont vraiment sympas. Il y a un pendule de Foucault géant suspendu au plafond, des tableaux d’insectes et de fleurs accrochés dans les couloirs, des poissons empaillés. Bref, pleins de surprises au détour de chaque couloir !

  • Les cours ont-ils été dispensés en anglais ?

Oui, à l’exception de quelques diapos en Norske… mais rien de bien gênant

  • As-tu eu des difficultés à suivre les cours en anglais ?

Quelquefois, l’accent norvégien n’est pas évident à suivre. Mais généralement ça va. Même les étudiants qui ne parlent pas très bien anglais en arrivant s’adaptent au bout de quelques semaines.

  • Les cours choisis t’ont-ils donné satisfaction ?

Oui, totalement ! A l’exception d’un cours de biologie moléculaire où j’ai appris des réactions chimiques par cœur.

  • Le niveau des cours t’a-t-il semblé plus élevé qu’en France ?

Oui. Le « truc », c’est qu’en France, on a tout ce qu’il faut dans les diapos. Ici, les étudiants doivent lire des articles scientifiques et les étudiants discutent avec les professeurs. Mais le vrai travail, c’est quand on rentre à la maison. Les professeurs attendent des étudiants qu’ils approfondissent les connaissances, beaucoup plus qu’en France. Du coup, même si le volume horaire n’est pas très élevé, il y a beaucoup plus de connaissances à assimiler par semestre.

Nous avons aussi souvent des projets à rendre. Ces projets demandent beaucoup de travail et de temps. Mieux vaut ne pas se réveiller trois semaines avant les examens !

  • As-tu suivi des cours de langue locale ?

Non.

  • As-tu validé les ECTS à ton retour ?

Oui, je les ai tous validés.